LE MONDE 31/08/2005 - 12h46
Pourquoi l’Union européenne, par la voix de ses chefs d’Etat et de gouvernement réunis en Conseil européen, a-t-elle pris, en décembre 2004, la décision d’ouvrir les négociations d’adhésion avec la Turquie ? Pour la même raison qu’elle envisagea cette perspective il y plus de quarante ans, lorsqu’elle signa l’accord d’association avec ce pays.
L’Europe a besoin à ses côtés d’une Turquie stable, démocratique, prospère et en paix avec ses voisins, qui respecte nos valeurs, nos (...)
L’Express - 30/08/2005
Aucun membre de l’Union européenne n’a proposé de différer l’ouverture des pourparlers d’adhésion prévus avec la Turquie, fait savoir le président de la Commission européenne Manuel José Barroso.
« Jusqu’ici, aucun pays ne m’a indiqué qu’il souhaitait reporter le début des pourparlers (3 octobre) », a déclaré Barroso au quotidien polonais Gazeta Wyborcza.
« La Commission européenne a préparé un programme de négociations avec la Turquie. Il appartient aux pays de l’UE de décider (de le (...)
TF1.fr LCI - BREVES MONDE - 29 août 2005
Le commissaire européen à l’Elargissement, Olli Rehn, a estimé dans un entretien au quotidien Helsingin Sanomat que la Turquie a rempli les principales conditions posées pour l’ouverture de négociations d’adhésion à l’Union européenneen octobre. Selon lui, rien ne s’oppose au lancement du processus après les réformes du code pénal et la signature d’un accord étendant l’union douanière UE-Turquie aux dix nouveaux pays de l’UE, dont la République de (...)
XINHUANET 28/08/2005 16:44:23
BERLIN, 27 août — Le chancelier allemand Gerhard Schroeder a déclaré que son pays soutient une intégration entière de la Turquie à l’Union européenne (UE) et l’ouverture des négociations en la matière à la date prévue, soit le 3 octobre prochain, a rapporté la presse allemande.
« La Turquie a tenu toutes ses promesses, maintenant il est temps que nous honorions lee notres », a indiqué M. Schroeder lors d’un dernier entretien avec des hommes d’affaires turcs à (...)
ERT Online - 28/8/2005 10:36:00
Site de la radio télévision grecque
La semaine à venir est particulièrement critique pour le processus d’adhésion de la Turquie à l’UE, alors que le climat ne lui est pas particulièrement favorable en Europe, après le refus de la Turquie de reconnaître la république de Chypre.
Le professeur de l’université d’Athènes en politique européenne, Panagiotis Ioakimidis, estime que, dans la phase actuelle, la Turquie ne reconnaîtra pas la république de Chypre, et que la Grèce devra (...)
Samedi 27 août 2005 (Liberation - 06:00)
Les autorités françaises ne désespèrent pas d’obtenir un renvoi de l’ouverture, prévue le 3 octobre, des négociations d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne. Quinze jours après Dominique de Villepin, Jacques Chirac, pourtant longtemps favorable à l’intégration turque, est à son tour revenu à la charge, affirmant vendredi, lors d’un entretien avec le président de la Commission, José Manuel Barroso, que la France voulait discuter les 1er et 2 septembre prochains (...)
LEXPRESS.fr avec Reuters
Samedi 27 août 2005, mis à jour à 20:47
Le ministre turc des Affaires étrangères, Abdullah Gül, a dit avoir bon espoir samedi que les pourparlers sur l’adhésion de son pays à l’Union européenne débutent comme prévu en octobre, malgré les critiques émises en France contre le refus d’Ankara de reconnaître Chypre. La Turquie doit en principe entamer des négociations d’adhésion avec l’UE le 3 octobre, mais la France souhaite voir d’abord Ankara reconnaître officiellement Chypre.
Le (...)
Le Figaro - 20/08/2005
La population est fatiguée de la guerre
Le Kongra-Gel, nouvelle appellation du PKK, le Parti des travailleurs du Kurdistan, a appelé hier à la trêve. Cette initiative ouvre peut-être la voie à une solution négociée du problème kurde en Turquie. La semaine dernière, après une vague d’attentats imputés au PKK qui a secoué la Turquie, le premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, avait appelé à la reprise du dialogue.
Diyarbakir - L’annonce faite hier par le Kongra-Gel, nouvelle (...)
Europeus - 22/07/2005
« Ras le bol » titrait le plus grand quotidien de Turquie, Hürriyet le vendredi 17 juin à l’adresse de tous ceux en France qui se plaisent avec une irresponsabilité croissante depuis septembre dernier à, pour dire les choses comme elles sont, blesser la Turquie. Cette campagne de dénigrement sur fonds de mépris et d’ignorance a atteint son apogée avec l’échec du dernier sommet de Bruxelles où de nombreux responsables politiques, les Balladur, Devedjian, de Charette (Président à (...)
L’Express du 15/08/2005
La France veut qu’Ankara reconnaisse les autorités grecques de l’île avant d’entamer les négociations d’adhésion. Perplexité dans les rangs de l’Union
Ce n’était donc pas la dernière foucade d’un Premier ministre fiévreux. Après Dominique de Villepin, Philippe Douste-Blazy a confirmé le revirement du gouvernement français : si la Turquie ne reconnaît pas légalement et au préalable les autorités de la partie grecque de Chypre comme seules représentantes de l’île, la France s’opposera à (...)
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