Le Nouvel Observateur
THESSALONIQUE, Grèce (AP) — Le Premier ministre grec Costas Caramanlis souhaite que la position de la Turquie à l’égard de Chypre soit « clarifiée » par l’Union européenne avant le lancement de négociations d’adhésion, le 3 octobre prochain. « La Grèce soutient l’avancée de la Turquie vers l’Europe, mais ce soutien n’est pas inconditionnel », a déclaré samedi M. Caramanlis lors d’une conférence de presse à Thessalonique. « On ne peut pas entamer des négociations pour devenir membre de l’UE (...)
Publius.fr
Je reviens une nouvelle fois sur le sujet. C’est que l’échéance du 3 octobre approche et que tout est encore loin d’être clair. Dans ma note précédente j’indiquais que les ministres des affaires étrangères des 25 devaient se réunir pour statuer sur la reconnaissance de Chypre par la Turquie.
Quels enseignements peuvent être tirés de la réunion du Conseil des 1er et 2 septembre derniers ?
Premier enseignement : aucun Etat ne s’est aventuré à remettre en cause la date du 3 octobre. Malgré le (...)
Le Monde avec AFP.
Les Etats membres de l’Union européenne peinent toujours à s’entendre sur une déclaration commune en réponse au refus réitéré fin juillet par la Turquie de reconnaître Chypre au stade actuel, selon des sources concordantes.
Les ambassadeurs des 25, réunis mercredi à Bruxelles, n’ont pas réussi à trouver d’accord et la présidence britannique doit poursuivre dans les prochains jours des discussions bilatérales avec les délégations pour tenter de dénouer la situation.
« La raison de cet (...)
Boursier.com - Reuters - 08/09/2005 - 13h48
PARIS (Reuters) - La candidature turque à l’Union européenne, sujet de divergence au sein de la majorité, a bien opposé lors du conseil des ministres Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy, rivaux potentiels pour la présidentielle de 2007.
« Le ministre de l’Intérieur a appelé l’attention sur la sensibilité de l’opinion publique à propos de la Turquie et il est exact que le Premier ministre lui a répondu en rappelant la position française, y compris la (...)
Le Figaro - 02/09/2005
L’Union européenne a accentué, hier, sa pression sur la Turquie afin qu’elle reconnaisse enfin la République de Chypre. Réunis à Newport, au pays de Galles, à l’invitation de la présidence britannique de l’UE, les ministres européens des Affaires étrangères se sont mis d’accord sur une déclaration commune enjoignant Ankara de « normaliser » ses relations avec Chypre, dans le cadre de ses pourparlers d’adhésion à l’Union européenne. Sous la pression de certaines capitales, notamment de (...)
Le Monde - 01/09/2005
L’assouplissement de la position française, qui ne devrait pas mettre son veto à l’ouverture des négociations d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne, devrait mettre un peu de baume au coeur des Turcs dont l’enthousiasme pro-européen, déjà en déclin, a encore pâti des nouvelles rebuffades de Paris. Il n’y avait plus guère que les membres du gouvernement qui continuaient à faire comme si de rien n’était, réaffirmant, à l’instar du ministre des affaires étrangères, Abdullah Gül, (...)
AFP - 31/08/2005
L’Allemagne « maintient inchangée » sa position favorable à l’ouverture de négociations le 3 octobre entre l’Union européenne et la Turquie, qui a fait l’objet d’une décision « adoptée par tous les 25 » pays européens, a rappelé mercredi le gouvernement allemand.
Lors de son point presse régulier, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Walter Lindner a rappelé que ces négociations « ne comportent en aucun cas de garantie ou d’automatisme » quant à une adhésion quand elles seront (...)
L’Express - 31/08/2005
L’Union européenne a indiqué mercredi qu’elle allait répliquer au refus de la Turquie de reconnaître Chypre, pays membre de l’UE, et Nicosie a menacé de s’opposer à l’ouverture des pourparlers d’adhésion d’Ankara à l’Union si la réponse de Bruxelles ne le satisfait pas.
« La plupart des Etats membres sont convenus avec la présidence de la nécessité d’une contre-déclaration », a déclaré un porte-parole de la présidence britannique de l’UE après une réunion des ambassadeurs du bloc sur la (...)
Le Monde - 31/08/2005
L’idée d’un « partenariat privilégié » avec la Turquie plutôt que d’une adhésion pleine à l’Union européenne « est illégitime et immorale », indique le chef de la diplomatie turque, Abdullah Gül, dans un entretien au journal Turkish Daily News, publié mercredi. Une telle proposition « rend caducs nos efforts communs d’un demi-siècle » en vue d’une adhésion, a martelé le ministre, et cette idée n’aura d’autre effet que de « handicaper l’avenir de nos relations » avec les Vingt-Cinq.
« (...)
LE MONDE 31/08/2005 - 12h16
Mis à jour le 31/08/2005 - 12h45
BRUXELLES de notre bureau européen
Premier gros dossier de la rentrée pour l’Union européenne (UE), l’adhésion de la Turquie divise les Etats membres, à commencer par la Grande-Bretagne, qui la soutient, et la France, qui exprime de fortes réserves. L’ouverture des négociations est prévue pour le 3 octobre, mais les Vingt-Cinq doivent encore en définir les modalités. Les ministres des affaires étrangères se réunissent les jeudi 1er et (...)
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