Dernier ajout : 29 avril 2004.
Les Dossiers de www.europe.gouv.fr
Lors d’une conférence de presse donnée le 29 avril, le Président de la République s’est exprimé sur la position de la France sur les affaires européennes ainsi que sur sa vision de l’Europe d’aujourd’hui et de demain.
Il a ainsi répondu aux questions des journalistes sur la question de l’entrée de la Turquie dans l’Europe.
Concernant la question d’une éventuelle entrée de la Turquie au sein de l’Union Européenne, le Président a clairement exposé sa position. Il a en (...)
Point de Vue par Dominique Moïsi
Directeur adjoint de l’IFRI (Institut français des relations internationales)
LEMONDE.FR 19/04/2004 15h00
Murat Erpuyan, spécialiste de la Turquie, explicite la volonté des Turcs d’intégrer l’Union européenne et souligne l’identité européenne de la Turquie.
W46 : Quel intérêt pour l’Europe d’intégrer la Turquie ?
Murat Erpuyan : La question n’est pas facile, mais je pense que l’Europe a un intérêt à intégrer la Turquie, ne serait-ce que pour tenir ses engagements qui datent de 1963 déjà, mais essentiellement pour assurer sa défense et ensuite pour montrer qu’elle ne fait pas partie (...)
L’Humanité
Porté par l’UMP, le refus de l’entrée d’Ankara dans l’UE cache mal des arrière-pensées électoralistes et une tendance très dangereuse de la vision européenne jouant des peurs apparues après les attentats du 11 septembre et de l’opposition entre un « monde chrétien » et un « monde musulman ».
Parmi les affiches qui commencent à fleurir pour les élections européennes du 13 juin, difficile de ne pas remarquer celle de Philippe de Villiers arborant ce slogan : « Non à la Turquie dans l’Europe ». Un (...)
Tribune publiée dans l’Yonne Républicaine
L’UMP vient de se prononcer contre l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne (UE). L’UMP valide ainsi l’attentisme du gouvernement Raffarin mais aussi celui d’une grande partie de l’opposition, tous suspendus à la publication d’un rapport technique de la Commission de Bruxelles, en décembre 2004, qui définira si la Turquie répond aux critères de Copenhague, qui incluent démocratie, économie de marché, respect des droits de l’homme et des libertés. Dire oui (...)