Source : l’Express, le 27-04-2007
Le Parlement turc a entamé vendredi un premier tour de vote crucial afin d’élire le 11e président de la République de Turquie, un scrutin où le seul candidat est celui du parti islamiste au pouvoir, le ministre des Affaires étrangères, Abdullah Gül. L’analyse de Jean-François Bayart, directeur de recherche au CNRS/Ceri, auteur de « Le gouvernement du monde. Une critique politique de la globalisation » (Fayard)
Qu’est-ce qui, selon vous, a motivé la décision du (...)
Source : The Telegraph, 30-04-07
What mighty contests rise from trivial things. A row over whether the Turkish President’s wife should wear a headscarf has brought millions of demonstrators on to the streets, agitated the army and reheated the familiar argument about Turkish secularism.
In the eyes of many foreign critics, this is an argument that Turkey cannot win. If Ankara tolerates the outward symbols of religious devotion, it is sliding into Islamism; if it bans them, it is a (...)
C’est une fin de cycle, un véritable changement d’ère qu’annonce cette élection présidentielle. L’Europe entière, en raison des enjeux qui concernent son avenir, suit attentivement les joutes électorales en cours. Forcément nouvelle, la personnalité qui l’emportera en mai parviendra-t-elle à rétablir la confiance, à apaiser les tensions entre communautés, et à relancer le débat avec l’Union européenne ?
Nous parlons, bien sûr, de la Turquie, qui, au milieu de violentes manifestations et d’affrontements, élit (...)
OViPoT
C’est finalement Abdullah Gül, l’actuel ministre des Affaires étrangères qui sera le candidat de l’AKP à la prochaine élection présidentielle qui doit s’ouvrir vendredi. Bien que le bras droit de Recep Tayyip Erdogan ait fait partie des noms évoqués, cette désignation n’était pas vraiment attendue par les observateurs de la vie politique turque et elle résout autant de questions qu’elle en pose.
Certes, cette décision permet au Premier Ministre de conserver la haute main sur le parti pour le mener (...)
Libération - 24/02/2007
Abdullah Gül, ministre des Affaires étrangères, entend garder le cap
Ankara envoyé spécial
Dans une interview à Libération, le ministre turc des Affaires étrangères Abdullah Gül critique la France, qui fait de l’adhésion de son pays à l’UE « un enjeu de petite politique intérieure ». Garder le cap et continuer la marche vers l’Union européenne. Malgré le « gel » en décembre dernier des négociations avec Bruxelles sur 8 des 35 chapitres de l’acquis communautaire après le refus (...)
Le Monde - 26/09/2006
Depuis que la Turquie a posé sa candidature pour entrer dans l’Union européenne, elle n’a pas ménagé ses efforts en vue de remplir les conditions fixées par les pays membres. Plus d’un tiers des articles de notre Constitution ont été modifiés, de nombreuses mesures légales ou administratives promulguées ; notre société se modernise à un rythme accéléré. C’est la voie du progrès pour le peuple turc et celle qui nous permettra d’aborder au mieux les différentes étapes du processus de (...)
l’Orient Le Jour - 23/08/2006 (Liban)
Damas et Ankara voient une « grande opportunité » pour la paix au Proche-Orient, affirme Gül
Le ministre espagnol des Affaires étrangères Miguel Angel Moratinos a estimé que « la Syrie, très isolée, doit être remise dans le jeu international », dans une interview publiée hier dans le journal français Sud-Ouest. L’Europe « ne peut rester les bras croisés quand on se bat à sa porte, dans des pays amis comme le Liban ou Israël », a indiqué le chef de la diplomatie (...)
Le Monde - 21/02/2006 - 13h08
ISTANBUL CORRESPONDANCE
Depuis trois jours, le gouvernement turc tente de se justifier par tous les moyens. La venue surprise, jeudi 16 février, d’une délégation de cinq hauts responsables du Hamas à Ankara lui a attiré, en effet, les foudres d’Israël.
L’ambassadeur israélien en Turquie, Pinhas Avivi, a décliné, lundi, l’invitation du chef de la diplomatie turque, Abdullah Gül, qui souhaitait clarifier sa position sur la situation au Proche-Orient. Le représentant de (...)
© Turquie Européenne pour la traduction
© 2006 EU Observer
L’Union Européenne essaye d’impliquer plus avant la Turquie, pays candidat à l’adhésion, dans un rôle de médiateur dans le cadre de la crise des caricatures de Mahomet qui a aiguisé les tensions entre l’Europe et le monde musulman.
21.02.2006 | By Lisbeth Kirk
La Présidence autrichienne de l’UE a invite le ministre turc des Affaires étrangères, M. Gül, à presenter des idées sur la manière d’apaiser ces relations, dans le cadre d’une réunion (...)
Abdullah Gül, vice premier ministre turc et ministre des Affaires étrangères :
« Il est désormais grand temps de laisser ces bidules que vous portez sur vous. »
Représentant du Hamas :
« Ne vous mêlez pas de nos affaires internes... On ne s’occupe pas de votre cravate ! »
© Emre Ulas, Radikal, le 18/02/2006
Emre Ulas est né en 1962 dans la ville de Kirikkale (à l’est d’Ankara). Diplômé de la faculté des Beaux Arts de l’Université de Marmara (Istanbul), il débute entre 1982 et 1997 par des (...)