« The European prospects of the region between Turkey and Russia depend primarily on Turkey, and then on their own internal relations. But the whole of relations between union-Europe and Russia will certainly not just also have a role in that, but generally remain the most important strategical problem of Europe in terms of security, and probably also of economy and anything else », wrote Hans-Peter Geissen as a conclusion of the second part of his series regarding the borders of Europe. (...)
Source : The New Anatolian, 11-11-2006
Polish Senate Chairman Bogdan Borusevic on Friday requested to mediate between Ankara and Yerevan, through representing Armenia in Turkey and vice versa until the two countries normalize their relations. Speaking to reporters following his contacts in Baku, Azerbaijan, Borusevic stressed that the Polish initiative aims at easing tensions and strengthening trust between Turkey and Armenia, noting his country’s good relations with both countries. « (...)
Source : le Blog finance
Les scientifiques recherchent des moyens de substitution pour faire face à une éventuelle pénurie de pétrole. Parmi les solutions de remplacement, les énergies minérales émergent de plus en plus, notamment le thorium et le bore. Ces deux matériaux, pourraient d’ici vingt ans ou moins être aussi connus que le pétrole. 65% des réserves mondiales de Bore proviennent de la Turquie et 13% des Etats Unis.
Les scientifiques et économistes turcs ont appelé le gouvernement à saisir (...)
Source : leblogfinance.com, le 14 octobre 2006
Le conflit qui oppose actuellement la France et la Turquie concernant la reconnaissance du génocide arménien comme pré-requis indispensable pour la rentrée dans l’Europe de la contrée néanmoins berceau de la « Sublime Porte » pourrait avoir des conséquences économiques importantes sur les entreprises françaises.
Notre gouvernement ne saurait -il pas ainsi apprécier le côté « sublime » de la porte qui pourrait ainsi s’entrouvrir devant la Turquie, ou (...)
Le Matin (Maroc) - 27/09/2006
En intervenant au Liban, les Européens ont pris une décision radicale, risquée et, en même temps, juste.
L’avenir de la sécurité européenne se décidera effectivement à l’est du bassin méditerranéen et au Proche-Orient. Qu’elle le veuille ou non, l’Europe joue désormais un rôle stratégique dans cette partie du monde. Si elle échoue, le prix à payer sera très élevé.
Compte tenu des risques considérables pris par l’Europe, en ayant pleinement conscience de leurs conséquences, il (...)
Le Figaro - 14/09/2006
Orient compliqué, décidément : alors que des signes d’apaisement nous viennent aussi bien de Téhéran que de Beyrouth, et même de la vie politique palestinienne où les modérés apparus au sein du Hamas viennent de s’entendre avec les forces laïques d’Abou Mazen, voici que, comme dans le jeu du carré magique, deux crises non moins graves viennent d’émerger là où on ne les attendait guère, la Turquie et la Syrie.
Chacun de ces deux pays donnait jusqu’à présent toutes les apparences de la (...)
Source : Le Nouvel Obs, le 02.09.06
ANKARA (AP) - La Turquie est divisée sur sa participation à la FINUL renforcée au Liban : certains y voient l’occasion d’un retour d’influence dans une région autrefois partie intégrante de l’empire ottoman ou une manière de consolider la candidature européenne d’Ankara. Mais d’autres craignent le piège proche-oriental, soulignant les risques pour le seul pays musulman de l’OTAN de se retrouver à faire le coup de feu contre d’autres musulmans, et de mécontenter l’Iran, (...)
Rebonds - Libération - 06/09/2006
Jamais les interactions politiques, ethniques, confessionnelles, militaires, jusque-là quelque peu gelées, n’ont été aussi fortes au Moyen-Orient qu’aujourd’hui. L’intervention contre le régime de Saddam Hussein a accéléré le processus. Par « Moyen-Orient », on peut entendre ce que renferme le triangle Istanbul-Le Caire-Mashhad. Il comprend tous les lieux de mémoire des trois monothéismes : Istanbul, Le Caire, Mashhad, précisément, mais aussi bien sûr, Jérusalem, Kerbela, (...)
L’éditorial de Pierre Rousselin . Publié le 05 septembre 2006
En participant à la force de l’ONU au Liban, la Turquie fait un geste qui peut avoir une influence positive sur le débat à propos de son adhésion à l’Union européenne. Malgré une opinion publique hostile et une classe politique très sceptique, Ankara va détacher un contingent de Casques bleus auprès de la Finul renforcée au Liban-Sud. La décision est doublement méritoire. Elle est, d’abord, le fait d’un pays qui a hérité de la puissance (...)
24 Heures - 26/11/2006
Proche-Orient : Alors que la participation des soldats turcs à la Finul n’est toujours pas acquise, Ankara masse des troupes à la frontière irakienne.
Ankara n’a toujours pas donné son feu vert à l’envoi de militaires turcs pour renflouer la Force intérimaire des Nations Uunies au Liban (Finul). Abdullah Gül, le ministre des affaires étrangères, a effectué ces derniers jours une tournée des capitales du Proche-Orient, se rendant à Beyrouth, Jérusalem et Damas pour évoquer la (...)
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