Source : TNA, 09-02-2007
Finally, the Turkish media recognized the disinformation efforts of some media outlets. We only could say to them: Welcome, and what took you so long? As regular readers of this column may remember, we brought this issue to our readers’ attention as early as last July. We refer you to our column of July 19 continue with our analysis of why the disinformation and manipulation campaign against the police still continues.
First, since the late ’90s, the Turkish (...)
© Marillac et Turquie Européenne pour la traduction
© Radikal 29/01/2007
L’assassinat de Hrant est une tragédie. Mais la société turque a désormais la possibilité de s’appuyer sur cette tragédie même pour lancer un processus de changement vers un avenir plus radieux.
La dernière fois que j’ai rencontré Hrant, c’était dans les premières semaines d’octobre 2006. J’étais venu à Istanbul pour une courte période afin de régler une affaire. Je souhaitais donc rendre visite à Hrant pour lui demander son avis sur (...)
Source : Cybrepresse
L’assassinat de Hrant Dink à Istanbul, le 19 janvier dernier, devant le local du magazine arménien Agos dont il était le principal animateur, a une portée immense. Il s’agit là en effet d’un meurtre « global », au carrefour de questions les unes internes à la Turquie, les autres externes, et qui concernent l’Europe, voire le monde.
La Turquie est une démocratie, la seule où l’islam soit arrivé par les urnes au pouvoir. Cette démocratie est fragile, car menacée sur trois fronts.
Le (...)
Source : TNA
A climate of nationalism mixed with racism, anti-Semitism and xenophobia is dangerously taking hold of Turks, largely due to power-hungry politicians desperately seeking to gain votes for their parties in this election year.
The country appears increasingly to be searching for an enemy in the belief that this will somehow be “revitalizing and replenishing for the nation.” This of course is the parlance of fascism. This country has even had politicians in the recent past, the (...)
Mustafa Akyol résume parfaitement mon sentiment. Il me rassure : quand vous émettez ces hypothèses en tant qu’étranger, on vous réplique que vous ne pouvez pas parler, n’étant pas Turc. Or là, c’est un Turc qui le dit. Probablement pourri d’idéologies étrangères subversives visant à l’éclatement de la république, comme Orhan Pamuk, Elif Safak ou Baskin Oran. Mais Turc tout de même.
La confusion Nation/République/Idéologie/Etat/Armée en Turquie rend difficile toute discussion rationnelle. Critiquer l’Etat, (...)
Source : The Turkish Daily News
Il est simplement dramatique et répugnant de voir des personnages éminents en Turquie incriminer avec insistance d’hypothétiques « ennemis extérieurs ». Hélas, trop c’est trop, et il est temps d’être honnête. Nous sommes confrontés à un ennemi interne. Et qui mérite d’être nommé « fascisme turc ».
Hrant Dink, guide de la conscience et de la liberté, a été abattu le 19 janvier. Depuis ce Vendredi noir, de nombreux Turcs ont démontré leur volonté de condamner ce crime haineux et (...)
Source : TNA
Since the Hrant Dink assassination the media has demonstrated a deliberate effort to show the police as having some level of involvement in the murder. In fact, a media report revealed that police informant Erhan Tuncel had shared some information about a possible assassination with police, yet they failed to prevent it.
The media, rightly so, focuses on the “informant” connection and attempts to uncover a shadowy involvement by the police. This is a nice aspect of democracy: (...)
Hrant Dink a été assassiné le 17 janvier dernier. Son nom n’était pas inconnu aux lecteurs de Turquie Européenne qu’il s’agisse des nombreuses poursuites judiciaires ou campagnes mensongères dont il fut la cible ou même de textes qu’il nous fit parvenir par l’intermédiaire de Baskin Oran, chroniqueur hebdomadaire à Agos. TE vous propose ici un dossier d’articles concernant Agos, la renaissance arménienne en Turquie et le combat de Hrant Dink.
L’article non lu mais amplement commenté puis déformé : La (...)
Source : Le Monde, 26-01-2007
A travers les colonnes de son journal, Agos, rédigé en turc et en arménien et publié depuis plus de dix ans à Istanbul, le journaliste Hrant Dink, assassiné le 19 janvier, était l’homme qui avait enfin sorti la voix arménienne de son silence. Il la faisait entendre bien au-delà des frontières communautaires. Serein, il injectait avec constance de la mémoire là où n’existait que du déni, fissurant chaque jour un peu plus le mur froid et aveugle de l’amnésie collective. Pour (...)
Samedi 27 janvier, à l’appel du Rassemblement des Association Citoyennes des Originaires de Turquie, une marche silencieuse en mémoire de Hrant Dink rassemblant, entre autres origines, des Turcs et des Arméniens s’est déroulée à Paris.
Le mot d’ordre était le même qu’à Istanbul mardi dernier « Nous sommes tous Hrant Dink, nous sommes tous des Arméniens ».
Le cortège a marché lentement et dignement de la place de la République, coeur du quartier des originaires de Turquie, jusqu’à la Bastille, lieu à haute (...)