Libération
Par Nedim GÜRSEL lundi 06 février 2006
Nedim GÜRSEL écrivain turc, directeur de recherche au CNRS (1).
La transcendance de Dieu est absolue selon la croyance islamique. Son essence demeure imperceptible. Elle est au-delà de toute imagination, de toute comparaison. On ne peut la représenter, ni la définir. En revanche, Dieu se manifeste par ses attributs. Ainsi pourrait-on se faire une idée de son émanation et se rassurer de son existence. Je crois qu’il en est de même dans le judaïsme. (...)
ISTANBUL - AFP - 14/01/2006
Istanbul Modern (IM), le plus grand musée d’art moderne de Turquie, a accueilli près de 500.000 visiteurs depuis son ouverture un an plus tôt, une affluence sans précédent dans ce pays pour un musée consacré à l’art contemporain, a indiqué mardi la direction de l’établissement.
« Nous avons reçu environ 490.000 visiteurs depuis l’inauguration du musée, le 14 décembre 2004 », a déclaré à l’AFP la porte-parole de l’IM Handan Senköken, se félicitant de se résultat inédit en Turquie (...)
Le Figaro - 29 novembre 2005
Première grande exposition en Turquie consacrée à un artiste occidental avec 135 oeuvres du géant du XXe siècle au Musée Sakip Sabanci d’Istanbul.
C’EST LA PREMIÈRE FOIS que la Turquie consacre une grande exposition à un artiste occidental. Le Musée Sakip Sabanci d’Istanbul accueille 135 oeuvres de Picasso, essentiellement des toiles mais aussi des dessins, des sculptures ou des céramiques.
C’est un événement d’importance à plusieurs titres. D’abord parce que les (...)
L’Humanité 10/03/2004
Bonne nouvelle : le cinéma turc respire encore. Pas seulement avec Nuri Bilge Ceylan qui, de Nuages de mai à Uzak, grâce fragile d’une écriture pour dire l’amour aussi bien que le désespoir, a conquis le public dans le monde entier. On était plus qu’inquiet pour cette cinématographie qui, dans les années soixante et soixante-dix, avait donné tant de preuves de sa vitalité. Si Yilmaz Güney, cinéaste rebelle, fut en effet le seul à connaître une consécration internationale, bien (...)
AFP - 23/02/2005
Bien malin qui pourra démêler l’écheveau embrouillé des origines de Giovanni Scognamillo, vénérable vieillard qui, après plus de 70 ans passés à Istanbul, dit « nous » quand il parle des Turcs, se revendique de « sujétion italienne » mais a appris le français et le grec avant la langue de Dante.
Le vieil homme est le plus souvent classé dans la catégorie floue et bien commode des « Levantins » -« celle des types qui ne sont ni occidentaux ni orientaux et qu’on a tendance à regarder comme (...)
Le Figaro - 12/02/2005
Ce n’est pas une exposition sur la Turquie, le pays moderne qui postule à l’entrée dans l’Union européenne, que propose la Royal Academy of Arts de Londres, mais sur les Turcs, ce qui est tout à fait différent. « Les Turcs, un voyage de mille ans, de 600 à 1600 » (*) embrasse une épopée formidable, plus spectaculaire encore que les conquêtes d’Alexandre, qui prend naissance dans les hauts plateaux de la Mongolie pour s’achever, au XVIIe siècle, aux portes de Vienne.
Ce sont donc (...)
AFP - 21/01/2005
Avec son exposition de mille ans d’art turc, à partir de samedi, la Royal Academy de Londres nous transporte à une époque où des villes comme Bagdad et Mossoul, aujourd’hui synonymes de guerre, étaient d’imposants centres culturels, sous la domination de l’empire turc.
Plus importante exposition dans ce domaine jamais présentée en Europe, ce « voyage à travers 1000 ans d’histoire turque, de 600 à 1600 », nous emmène comme par magie, dans le sillage d’Aladin, à travers des contrées (...)
Libération - 22/01/2005
SAMEDI
Le chantier de Nazim Hikmet
Nazim Hikmet est né le 15 janvier 1902 à Salonique dans une vieille famille de dignitaires ottomans, il y a donc jour pour jour cent trois ans. « La vie est peut-être plus courte qu’il ne faut / peut-être plus longue », disait-il dans un poème écrit à la prison de Bursa où il passa les plus belles années de sa vie. Par rapport à l’engagement politique de sa jeunesse auquel il resta fidèle jusqu’au bout (rappelons les vers qui ponctuent la fin (...)
Télérama n° 2866 - 15 décembre 2004
Haldun Dogtoglu a ouvert une galerie d’art à Istanbul il y a vingt ans. La ville attire des artistes venus de toute l’Europe centrale.
Le soir venu, dans les rues d’Istanbul, aux environs du centre névralgique de la place Taksim, le peuple déambule comme on manifeste : en nombre, avec énergie. La poussée démographique est palpable. Aller déguster un poisson du Bosphore ou boire un verre de raki, voire rentrer chez soi - ce qui ne va pas de soi dans une ville de 13 (...)
0 | ... | 100 | 110 | 120 | 130 | 140 | 150 | 160 | 170 | 180 | 190
0 | 20