Dernier ajout : 18 mai 2010.
Mardin (Turquie) Envoyé spécial
Assaillie par le printemps, la forteresse de Mardin est envahie par des bataillons de fleurs sauvages jaune safran qui se mêlent au vert des herbes folles et à l’ocre de la roche. Etalées sur les flancs de ce piton rocailleux, à 1 000 mètres d’altitude, les maisons de pierre rectangulaires de cette petite ville du sud-est de la Turquie, située à 30 kilomètres de la frontière syrienne, se dévoilent sous leur plus beau jour.
Les charmes de Mardin sont longtemps demeurés un (...)
Migrants . Elele qui œuvre en faveur des populations turques voit chuter les aides publiques. Inquiétudes.
Par CATHERINE COROLLER
Eric Besson et Fadela Amara lui ont rogné les vivres. L’association Elele - Migrations et cultures de Turquie, créée en 1984 dans le but de favoriser l’intégration des populations turques en France, est en liquidation judiciaire. En vingt-cinq ans, Elele avait acquis une incontestable légitimité. Si Gaye Petek, sa présidente, a été choisie pour faire partie de la (...)
Cengiz Aktar
Prime Minister Recep Tayyip Erdoğan gave an interview to the French daily Le Figaro in advance of his visit to Paris for the closing ceremony of the “Turkey Season in France.”
Erdoğan told the newspaper that he would invite French President Nicolas Sarkozy to visit Turkey and if this comes to pass, he would be able to note that Turkey is more developed in some areas than many European Union countries.
The prime minister is right. For instance, Turkey meets the budget deficit (...)
Bernard Guetta
La France n’a plus de politique étrangère. Ce n’est pas que le bilan diplomatique de Nicolas Sarkozy soit totalement négatif. Ce président peut, au contraire, se flatter de deux réussites sur la scène internationale puisqu’il avait su faire de l’Union européenne l’instrument d’une médiation entre Russes et Géorgiens et que c’est lui qui était parvenu, surtout, à imposer à George W. Bush la réunion d’un sommet du G 20 pour faire face au krach de Wall Street.
Nicolas Sarkozy a fait voir le (...)
Pierre Razoux *
Le responsable de recherches au Collège de défense de l’Otan souligne la montée en puissance de la crédibilité d’Ankara dans l’opinion publique arabe sunnite.
Force est de constater que le processus de paix israélo-palestinien est dans l’impasse. Tous ses parrains, Quartet en tête, ont beau se pencher sur lui, aucun ne semble avoir les moyens de convaincre Mahmoud Abbas de rejoindre la table des négociations, et Benyamin Nétanyahou d’accepter des concessions indispensables mais (...)
BFM (France), 8 avril 2010
Fabrice Lundy, La rédaction, Le Grand Journal
La représentante en France du patronat turc revient sur ce qui a permis à son pays de traverser la crise et sur ses atouts pour l’avenir.
Fabrice Lundy : l’économie turque est la 17 au niveau, avec en 2009 une croissance de 6%, alors que l’année avait mal commencé avec une chute de 15% au premier trimestre du PIB. Ca veut dire que le pays a bien traversé la crise ?
Serap Atan : on peut dire ça. Evidemment on a eu une (...)
Laurent Chemineau
En visite à Paris, le premier ministre turc a présenté son pays comme une alternative crédible aux pays émergents.
A l’issue de sa prestation au Medef où il était l’invité de Laurence Parisot mercredi après midi, le premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a fait mouche à en juger par les réactions des patrons français présents. « Par rapport aux autres pays émergents qui font rêver parce qu’ils sont loin, la Turquie offre des conditions d’affaires plus faciles car la réglementation (...)
La question nucléaire iranienne s’est ravivée récemment, donnant l’occasion à plusieurs de ses protagonistes de revoir ou de raffermir leurs positions. À l’origine de cette évolution, l’annonce par Téhéran, en février dernier, du début des opérations de production par l’Iran d’uranium enrichi à 20% (le taux d’enrichissement n’avait jusqu’alors jamais dépassé le seuil de 3,5%, largement suffisant pour la production d’énergie nucléaire au niveau civil). Perçue comme une nouvelle provocation du régime, cette (...)
INTERVIEW - Attendu en France mardi et mercredi, le premier ministre turc veut surmonter les désaccords sur l’adhésion de son pays à l’Union européenne et faire entendre sa voix sur la scène internationale.
Attendu mardi soir à Versailles pour la cérémonie de clôture de la Saison de la Turquie en France, le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan rencontrera mardi le président Sarkozy et son homologue François Fillon.
LE FIGARO. - La France et la Turquie ont des liens culturels forts. Quel message (...)
Une semaine après avoir reçu la chancelière allemande, Angela Merkel, à Ankara, le premier ministre turc poursuit son parcours du combattant européen. Recep Tayyip Erdogan est en visite officielle, mardi 6 et mercredi 7 avril, en France, autre adversaire déclaré de l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne (UE).
Le déplacement est sensible, même si M. Erdogan et le président du Sénat, Gérard Larcher, pourront célébrer mardi soir la réussite de la Saison de la Turquie, neuf mois d’événements culturels (...)