Source : Le Monde, le 14-11-2006
Lorsqu’il parle de la Turquie, Jacques Chirac évoque rarement la promesse, faite en 1963 par de Gaulle et Adenauer, d’intégrer un jour ce pays dans l’Europe. En onze ans de pouvoir, le président français ne s’est jamais rendu en Turquie en visite d’Etat. En 1998, Jacques Chirac accueillait pourtant son homologue turc, Suleyman Demirel, à Paris. C’était la première visite du genre depuis 1967.
La diplomatie turque attendait, en retour, un déplacement de M. Chirac, en (...)
Source : Le Meilleur des Mondes
La campagne des « primaires » bat son plein à gauche. Au-delà des lieux communs, des positionnements tactiques et médiatiques comme des atermoiements démagogiques et des déclarations lénifiantes, Turquie Européenne tenait à consacrer un bref mais utile éclairage à la position de Dominique Strauss-Kahn sur un sujet qui n’est pas sans intéresser notre association. Tout en notant la constance et l’audace d’un engagement, d’une vision de l’Europe sur laquelle il s’explique (...)
Source : leblogfinance.com, le 14 octobre 2006
Le conflit qui oppose actuellement la France et la Turquie concernant la reconnaissance du génocide arménien comme pré-requis indispensable pour la rentrée dans l’Europe de la contrée néanmoins berceau de la « Sublime Porte » pourrait avoir des conséquences économiques importantes sur les entreprises françaises.
Notre gouvernement ne saurait -il pas ainsi apprécier le côté « sublime » de la porte qui pourrait ainsi s’entrouvrir devant la Turquie, ou (...)
Source : http://www.europeus.org
Des « vents mauvais »…L’expression est du maréchal Pétain. Elle revient d’actualité. Hélas ! Les « vents mauvais », on sait comment ils se lèvent, mais on ne sait jamais sur quelle tempête ils peuvent déboucher… « Vents mauvais » ?
Le règne de la peur, ou plutôt des peurs, dans tous les pays d’Europe. Insécurité tous azimuts et vertiges devant l’avenir. La peur est toujours mauvaise conseillère. On le sait mais on n’en tient guère compte. Réagir en adulte, c’est savoir vaincre (...)
Source : International Herald Tribune
Published: September 14, 2006
New Yorkers and Washingtonians unfamiliar with Nicolas Sarkozy might be forgiven if they thought the bouncy, pixyish politician they saw the other day was a new Republican running for Congress, the way he was pinning medals on police commissioners, jogging in Central Park, signing books, posing with President George W. Bush, vowing fealty to Israel and bashing France. They might have been surprised to learn that he is (...)
Source : le Figaro, le 28/06/2006
De passage à Strasbourg où il était, mercredi, l’invité du Conseil de l’Europe, le premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, invite les 500 000 Turcs qui vivent en France à « mieux s’organiser » et « s’intégrer » pour rapprocher les deux pays.
LE FIGARO - La marche de la Turquie vers l’Europe est semée d’obstacles. Malgré tout, conservez-vous un enthousiasme intact pour cette aventure ? Recep Tayyip ERDOGAN - Nous savions dès le départ que la route serait dure et (...)
Un an, tout juste, après le Non des Français au referendum sur la Constitution européenne, mes interlocuteurs à l’Université Bilgi à Istanbul, se disent « déçus ».
Déception : c’est le terme qui revient le plus souvent dans mes entretiens en Turquie avec professeurs, étudiants, journalistes, diplomates. Dans ce Non des Français , ils savent tous que le refus de la Turquie fut un composant décisif. Que l’ensemble de la classe politique française, à l’exception remarquable de Michel Rocard ait lâché la cause (...)
Source : le Figaro.fr
A un mois du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement, la France expose, dans un document remis aux Vingt-Cinq, ses vues sur l’élargissement.
Le débat sur les frontières de l’Europe n’aura pas lieu cette année. Un an après le non français à la Constitution, la France renonce à imposer ce sujet au Conseil européen de juin. « C’est un problème sans solution, donc un débat inutile, explique un diplomate français à Bruxelles. Pour éviter le sentiment de fuite en avant (...)
LE MONDE
SALZBOURG (AUTRICHE) ENVOYÉS SPÉCIAUX
Loin de Paris, Dominique de Villepin, fait entendre sa différence avec Jacques Chirac sur l’élargissement de l’Union européenne. Venu participer à une conférence sur l’avenir et la crise d’identité de l’Europe, Jeudi et vendredi 27 janvier à Salzbourg, le premier ministre français a mis en garde contre « une fuite en avant ». « l’idée d’une fuite en avant alors même que nous sommes confrontés à des difficultés sur le plan institutionnel me paraît dangereuse », (...)
Le Monde 22/03/2005
Propos recueillis par Gérard Courtois, Ruth Elkrief et Anita Hauser
La montée du « non » dans les intentions de vote au référendum vous inquiète-t-elle ?
On voit bien que les Français s’interrogent, doutent de l’avenir et de l’Europe. Dans une France qui souffre et qui est en colère, on comprend bien qu’il y ait un désir de traduire, par un vote présumé dans deux mois, une sorte de rébellion. Comme les Français ont beaucoup de choses à reprocher au gouvernement, ils sont nombreux à (...)
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