Dernier ajout : 17 juin 2009.
Alors que la plupart des Instituts de sondages annonçaient une victoire confortable de l’AKP (à l’exception toutefois d’A&G qui donnait l’AKP à 39,8%, le CHP à 26,4% et le MHP à 15,2%), les élections turques du 29 mars ne paraissaient pas devoir constituer un test majeur pour le gouvernement. Force est de constater que les urnes ont largement infirmé ce pronostic.
Avec un score de 38,87% (pour l’ensemble des scrutins tenus), l’AKP, qui avait eu des résultats nettement supérieurs tant aux élections (...)
President Obama has wisely decided to visit Turkey during his first official trip to Europe. The United States needs Turkey’s cooperation — in Iraq and Afghanistan as well as with Iran and efforts to broker Middle East peace. But there are also very worrying trends in Turkey’s relationship with Europe and its internal politics.
Mr. Obama must do all he can to help reverse those trends and anchor Turkey more firmly in the West.
The Justice and Development Party (AKP) scored an impressive (...)
Le président afghan Hamid Karzaï et son homologue pakistanais Asif Ali Zardari se sont rencontrés hier à Ankara pour tenter de trouver les moyens d’apaiser les tensions entre les deux pays.
À cinq jours de l’arrivée du président Barack Obama en Turquie pour une visite officielle, Ankara a donné un nouveau gage sur sa capacité à jouer un rôle de médiateur. Mercredi, un sommet tripartite a réuni dans la capitale turque les chefs d’État afghan et pakistanais, Hamid Karzaï et Asif Ali Zardari, autour du (...)
For people in my profession, more gratifying than the memory of their first kiss is the memory of their first front-page news story, and I suspect it will come as no surprise that I am about to tell you the story of mine.
It was 20 years ago that I mustered my nascent investigative skills to investigate the mysterious closure of the social club that was located just inside the gate at the British Consulate in İstanbul. The answer warranted a little paragraph at the bottom of the front page (...)
L’immense campus de l’université du Bosphore, à Istanbul, s’étale sur une colline, en surplomb du détroit qui sépare l’Europe de l’Asie. Avec ses vastes espaces verts, ses installations modernes et ses centres de recherche performants, cette université publique, la meilleure du pays, offre un coin d’Amérique au cœur de l’ancienne capitale ottomane.
Des milliers de jeunes suivent un enseignement en anglais et rêvent de poursuivre leurs études outre-Atlantique. Après la Chine, la Turquie est le pays qui (...)
PM Erdoğan loses the referendum game he conceitedly established. People withdraw the conditional support that they gave at the July 2007 elections as a reaction to the army’s impositions.
The Justice and Development Party (AKP) and its leader Tayyip Erdoğan have received a slap in the face by the electorate. If we were to summarize the local elections of March 29, 2009, this would be it. This situation holds completely new promises of possibilities for the public to rule itself.
Yes, the AKP (...)
1860 : M. Préault, ingénieur français en poste à Constantinople réfléchit à la manière de faciliter le transport entre la rive européenne et la rive asiatique de la cité. Il dessine un avant-projet de pont-tunnel immergé sous le Bosphore, breveté par le gouvernement impérial ottoman. Malheureusement il doit renoncer, les techniques d’ingénierie n’étant pas suffisamment sophistiquées à l’époque pour réaliser un ouvrage résistant aux courants marins du Bosphore. 27 Août 2004 : près de 150 ans plus tard, le rêve (...)
Même s’il maintient ses principales positions dans le pays, le Parti de la justice et du développement (AKP), le parti islamo-conservateur au pouvoir en Turquie, est en recul : il n’a obtenu que 39 % des suffrages aux élections municipales du 29 mars, contre 41,6 % en 2004 et 46,6 % aux législatives de 2007. « C’est insuffisant, a reconnu dès l’annonce des résultats, le premier ministre Recep Tayyip Erdoğan. Nous allons en tirer les leçons. »
M. Erdoğan souhaitait voir son parti sortir renforcé du (...)
Cinquante-six personnes, dont deux généraux quatre étoiles à la retraite, comparaîtront à leur tour, à partir de juillet, dans le procès de la nébuleuse Ergenekon, du nom de l’organisation secrète ultranationaliste soupçonnée d’avoir comploté contre le gouvernement. Le deuxième acte d’accusation, rendu public par le procureur spécial, mercredi 25 mars, précise que les douze principaux accusés de cette organisation illégale risquent la prison à vie.
Cette nouvelle liste de militaires, journalistes, (...)