Le référendum « anti-turc » est de retour. Alors que Nicolas Sarkozy voulait supprimer l’obligation d’organiser une consultation populaire pour ratifier tout nouvel élargissement de l’Union européenne, les députés UMP ont réussi à imposer son maintien pour la Turquie.
La commission des lois de l’Assemblée nationale propose, en effet, avec le soutien de l’Elysée, que le référendum reste obligatoire pour l’adhésion de pays représentant « au moins 5 % de la population européenne ».
Quelle est l’origine du (...)
Nous soumettons ces lignes à ceux qui croiraient encore au péril de l’élargissement, comme dilution de l’Union européenne.
Cette nuit, le Portugal a passé le relais de la présidence de l’Union européenne à la Slovénie pour six mois. C’est la première fois, depuis le grand élargissement du 1er mai 2004, qu’un Etat d’Europe de l’Est va exercer cette fonction. Tout un symbole, d’autant que ce petit pays de 2 millions d’habitants n’existait même pas en tant qu’Etat indépendant avant juin 1991, date à laquelle (...)
Deux députés européens italiens, Marco Pannella et Marco Cappato, ont demandé à la Commission et au Conseil des ministres pourquoi la Turquie ne figurait pas sur la nouvelle face commune des pièces en euro au contraire de l’ensemble des pays de l’Est, y compris la Biélorussie, l’Ukraine, la Moldavie et la… Russie.
Ils veulent savoir selon quels critères on a « choisi de faire figurer certains pays non membres de l’UE, parmi lesquels des régimes autoritaires voire dictatoriaux, plutôt qu’un pays comme (...)
Liberation
Bruxelles (UE) de notre correspondant
Rien n’arrêtera le train de l’élargissement, ni la crise constitutionnelle ouverte par les non français et néerlandais, ni la crise budgétaire : hier, la Commission européenne a reconnu le statut de « candidat » à l’ex-République yougoslave de Macédoine, alors que la Turquie et la Croatie ont démarré leurs négociations d’adhésion le 3 octobre et que la Bulgarie et la Roumanie adhéreront bien, comme prévu, le 1er janvier 2007. L’exécutif européen ne cache pas (...)
Mercredi 28 septembre 2005 (Liberation.fr - 19:16)
Les députés européens ont exigé mercredi qu’Ankara reconnaisse, préalablement à son accession, le génocide arménien de 1915 et durci le ton sur Chypre. La réaction de l’UDF Marielle de Sarnez, défavorable à l’adhésion de la Turquie.
Bruxelles (UE) De notre correspondant
Le Parlement de Strasbourg a exigé aujourd’hui par 356 voix contre 181 et 125 abstentions, qu’Ankara reconnaisse, préalablement à son accession, le génocide arménien de 1915 et a ajourné, (...)
Libération
A trois jours du Conseil européen qui doit décider de l’ouverture de négociations d’adhésion avec la Turquie, les derniers risques de crise s’éloignent. Hier, à Bruxelles, le ministre des Affaires étrangères de Chypre a écarté l’idée que son pays utilise son droit de veto s’il n’est pas reconnu rapidement par Ankara. Georges Iacovou espère simplement que la Turquie manifestera sa volonté de « normaliser » ses relations avec la République de Chypre avant mars 2005. De son côté, Michel Barnier a (...)
Libération - 06/10/2004
Pour la Commission, les négociations peuvent débuter. La décision devra être prise par les chefs d’Etat et de gouvernement le 17 décembre.
La Turquie va pouvoir commencer ses négociations d’adhésion à l’Union européenne. Dans une « recommandation » de huit pages, rédigée par le commissaire à l’Elargissement, Günter Verheugen, et adoptée aujourd’hui par la Commission, celle-ci estime que ce pays respecte « suffisamment les critères politiques de Copenhague », c’est-à-dire la démocratie (...)
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