Source : Le Figaro
Pour être plus forts à l’international, les conglomérats turcs ont compris qu’ils devaient aujourd’hui se séparer de certains segments et concentrer leurs activités sur deux ou trois sécteurs.
KOÇ, Sabanci, Dogus, Cukurova... Ces noms sont familiers sur les rives du Bosphore, mais peu d’étrangers en ont encore entendu parler. Une situation qui pourrait bien changer dans un futur proche. Loin des feux de l’actualité financière internationale, les grands groupes turcs, portés par une (...)
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