Il voyage tous les étés et à travers ses textes, Tristan Cabral épouse la cause des exclus, de tous ceux que la société écrase. On le retrouve partout où l’homme incendie son semblable.
Il s’est lié à des mouvements révolutionnaires en Amérique du Sud - anthologie des poètes insurgés Lima 1979
- A Prague - Le quatuor de Prague - (éditions de l’aube 1991)
- A Bagdad, en Turquie, à Istanbul - Le passeur d’Istanbul - (édition du Griot 1992)
- A Belfast, Mexico, Alger, Jérusalem - Le désert Dieu - (L’Alpha Oméga éditions 1996)
- Au Kosovo, en Bosnie - Mourir à Vukovar - Cheyne éditeur 1997
Prix Marchado à Barcelone en 2006 pour « Al Marjasem Ella Gloriam »
(autres recueils : L’enfant d’eau, Testament funambule, Passeurs d’aube, Les Paris imaginaires, Le passeur de silence ...)
« Je ne veux rien oublier... surtout pas. L’oubli c’est la mort » Tristan Cabral
(de marie-lise MARTINS-LE CORRE pour « les voleurs de Feu » , adhérent « langues du Tonnerre »)