Dernier ajout : 30 septembre 2006.
Source : Le Figaro
Pour être plus forts à l’international, les conglomérats turcs ont compris qu’ils devaient aujourd’hui se séparer de certains segments et concentrer leurs activités sur deux ou trois sécteurs.
KOÇ, Sabanci, Dogus, Cukurova... Ces noms sont familiers sur les rives du Bosphore, mais peu d’étrangers en ont encore entendu parler. Une situation qui pourrait bien changer dans un futur proche. Loin des feux de l’actualité financière internationale, les grands groupes turcs, portés par une (...)
Source : International Herald Tribune
Published: September 14, 2006
New Yorkers and Washingtonians unfamiliar with Nicolas Sarkozy might be forgiven if they thought the bouncy, pixyish politician they saw the other day was a new Republican running for Congress, the way he was pinning medals on police commissioners, jogging in Central Park, signing books, posing with President George W. Bush, vowing fealty to Israel and bashing France. They might have been surprised to learn that he is (...)
France Inter - Les Chroniques - Géopolitique
Au premier regard, tout est simple. Durant la Première Guerre mondiale, au moment où s’effondrait l’empire ottoman, les Turcs ont exterminé quelques deux tiers des Arméniens de Turquie, un million deux cent mille personnes au bas mot, considérés à la fois comme alliés des Russes et comme une menace à l’homogénéité d’un pays autrefois multinational mais en train de se réduire à sa métropole turque.
Cette extermination, ce génocide, n’a pas eu la dimension (...)
Source : Le Monde, le 21/09/2006
La romancière turque Elif Shafak a comparu jeudi 21 septembre en appel devant la cour de Beyoglu, à Istanbul, pour « insulte à l’identité nationale ». Evidemment, contre l’avis de ses médecins : elle vient de mettre au monde une petite fille. Malgré les requêtes répétées de ses avocats, la cour, peu émue par l’événement, ne lui a accordé aucun report. « Je veux être présente à ce procès », clamait la jeune femme, le teint pâle et les traits creusés, à la veille de son (...)
Source : 7sur7.be
Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a refusé lundi d’imposer à la Turquie de reconnaître le génocide arménien avant son éventuelle adhésion à l’Union européenne.
« Ce genre d’examen doit être volontaire. Il ne peut être imposé », a jugé lundi le patron de l’exécutif européen. « On ne doit pas poser cela comme une condition supplémentaire », a insisté José Manuel Barroso en soulignant la « difficulté » et le « temps » nécessaire à la conduite de ce genre de débat. « (...)
Libération - Rebonds - 11/09/2006
Pour prévenir le conflit avec la partie turque de l’île, l’UE a intérêt à travailler sur l’hypothèse d’un Etat fédéral.
Gouverner, en principe c’est prévoir ; mais, en pratique, hélas, c’est trop souvent improviser des réponses à ce que l’on n’a pas su anticiper. On attend en général, pour agir, qu’un problème se soit transformé en crise inextricable. L’engrenage des violences au Liban en fournit une nouvelle et tragique illustration.
L’expérience internationale que mes (...)
Le Figaro - 14/09/2006
Orient compliqué, décidément : alors que des signes d’apaisement nous viennent aussi bien de Téhéran que de Beyrouth, et même de la vie politique palestinienne où les modérés apparus au sein du Hamas viennent de s’entendre avec les forces laïques d’Abou Mazen, voici que, comme dans le jeu du carré magique, deux crises non moins graves viennent d’émerger là où on ne les attendait guère, la Turquie et la Syrie.
Chacun de ces deux pays donnait jusqu’à présent toutes les apparences de la (...)
Source : Le Nouvel Obs, le 02.09.06
ANKARA (AP) - La Turquie est divisée sur sa participation à la FINUL renforcée au Liban : certains y voient l’occasion d’un retour d’influence dans une région autrefois partie intégrante de l’empire ottoman ou une manière de consolider la candidature européenne d’Ankara. Mais d’autres craignent le piège proche-oriental, soulignant les risques pour le seul pays musulman de l’OTAN de se retrouver à faire le coup de feu contre d’autres musulmans, et de mécontenter l’Iran, (...)
Observatoire du communautarisme - 10/09/2006
http://www.communautarisme.net
Le 12 avril 2006, le Parti Socialiste a déposé une proposition de loi visant à créer un délit pénal concernant la négation du génocide arménien. Cette nouvelle proposition qui a pour but d’encadrer les discours relatifs aux événements historiques s’inscrit dans un contexte polémique sur le principe des lois mémorielles, et est survenu peu de temps après le débat sur « le rôle positif de la colonisation ».
Simple hasard de (...)
LE MONDE
ISTANBUL CORRESPONDANCE
Malgré les avertissements répétés des responsables européens tout au long des derniers mois, la crise couve entre la Turquie et l’Union européenne, peu satisfaite du rythme des réformes menées par le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan. Depuis l’ouverture des négociations d’adhésion, le 3 octobre 2005, plusieurs dossiers cruciaux sont dans l’impasse. Pour tenter de convaincre les dirigeants européens de la bonne volonté turque, le négociateur en chef avec l’UE, Ali (...)