Nicolas Sarkozy ne me fait pas peur. Il me terrorise, me révulse, me dégoûte.
Son dernier discours contient une perle, qui j’espère sera reprise par la presse et commentée jusqu’à plus soif, car elle est potentiellement plus dévastatrice que tous les kärchers du monde mis à bout.
Je cite la dépêche AFP : « Il nous faut retrouver cette foi dans l’avenir, cette foi dans les capacités humaines et dans le génie français », a-t-il dit en se référant à « la France des croisades et des cathédrales, la France (...)
Source : Today’s zaman
As the president has important powers in the French political system, the winner of the presidential elections this May is important not only for France but also for many other countries.
The rightist UMP candidate Nicolas Sarkozy, who says that “Together Everything is Possible,” seems to receive the support of the conservative sectors of the electorate. He wants to restore France’s former power and importance. But having said that, he seems to be supportive of a (...)
Source : Libération
Nul doute que si Ségolène Royal était un homme, elle ne serait pas ainsi à la tête de l’affiche. Quant à Nicolas Sarkozy, pas étonnant qu’il apparaisse comme le seul candidat en mesure de secouer la France, ce pays où les leaders politiques donnent l’impression de petites vieilles timorées, rencognées à la fenêtre de leur balcon et farouchement hostiles à tout changement. Mais la peur qu’inspire son allure de Robocop fait grimper la cote de François Bayrou, qui rassure par son image (...)
La Turquie, c’est très pratique !!! Jugez donc. Cela faisait longtemps ( ?!), cela nous manquait : Monsieur le Vicomte rayé d’un trait de minaret de la cartographie sondagière pré-électorale, la Turquie n’avait quasiment plus droit de cité (comme d’autres d’ailleurs) dans les discours fleuris de nos attendrissants candidats. Mais rendons grâce à Marie-Nicolas de Sarkozie d’avoir enfin su redorer le blason de notre chère Turky !!!
He oui ! Il ne suffit pas de vouloir se hisser ou se glisser dans le Saint (...)
Le concept à la mode dans les milieux politiques français et européens, proposé comme alternative à l’adhésion pleine et entière de la Turquie à l’Union Européenne, est celui du « partenariat privilégié ». Or, la lecture des arguments avancés par les partisans de ce projet n’apporte que peu de suggestions réelles et de progrès par rapport à ce qui existe déjà ; cette solution de substitution ressemble fort à une coquille vide destinée à sauvegarder coûte que coûte les intérêts économiques européens en Turquie (...)
Le concept à la mode dans les milieux politiques français et européens, proposé comme alternative à l’adhésion pleine et entière de la Turquie à l’Union Européenne, est celui du « partenariat privilégié ». Or, la lecture des arguments avancés par les partisans de ce projet n’apporte que peu de suggestions réelles et de progrès par rapport à ce qui existe déjà ; cette solution de substitution ressemble fort à une coquille vide destinée à sauvegarder coûte que coûte les intérêts économiques européens en Turquie (...)
Le couple infernal de la politique française se retrouve plus ou moins dans une hostilité à la Turquie guidée par les sondages. Et pourtant, que de points communs entre Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal et les hommes politiques turcs !
Que dit en substance Nicolas Sarkozy aux immigrés ? « La France, soit tu l’aimes, soit tu la quittes ». On apprécie le dessin de Charb mettant en scène Sarko montrant du doigt la sortie à une petite fille Africaine « Tu l’aimes la France ? Eh ben tu vas la quitter quand (...)
Source : Au fil du Bosphore, le 14-01-2007
C’est dimanche 14 janvier 2007 que Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa a été intronisé candidat de l’UMP pour l’élection présidentielle française du printemps. Son opposition à la condidature européenne de la Turquie n’est pas un mystère.
« A l’école, on m’a appris que la Turquie se trouvait en Asie mineure », avait déclaré le petit candidat qui avait redoublé sa 6e et loupé son diplôme de Sciences-Po.
Il a déclaré à l’occasion de son intronisation que la Turquie « n’a (...)
Source : L’Humanité - Article paru dans l’édition du 15 décembre 2006
Ancien partisan de la Turquie, Jacques Chirac a changé d’avis sous la pression électoraliste de Nicolas Sarkozy.
Bruxelles, envoyé spécial.
Des vingt-cinq chefs d’État et de gouvernement réunis depuis hier à Bruxelles pour un sommet axé sur l’élargissement de l’Europe, Jacques Chirac est celui dont la position sur l’adhésion turque a le plus spectaculairement évolué. Le président français fait aujourd’hui partie, avec Angela Merkel, de (...)
RACORT - Paris, le 04/12/2006
Kazim Kustule était un jeune homme de 22 ans originaire de Turquie, père de deux enfants et travaillant dans le bâtiment à Marseille. Un jeune homme plein d’avenir et plein de projet pour lui et sa petite famille.
Le seul problème, c’est qu’il était sans-papiers comme des milliers d’autres personnes. Sa malchance, c’est que le Ministre de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy à des objectifs à atteindre avant le 31 décembre 2006. Il prépare sa campagne électorale et une partie (...)
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