24 Heures - 26/11/2006
Proche-Orient : Alors que la participation des soldats turcs à la Finul n’est toujours pas acquise, Ankara masse des troupes à la frontière irakienne.
Ankara n’a toujours pas donné son feu vert à l’envoi de militaires turcs pour renflouer la Force intérimaire des Nations Uunies au Liban (Finul). Abdullah Gül, le ministre des affaires étrangères, a effectué ces derniers jours une tournée des capitales du Proche-Orient, se rendant à Beyrouth, Jérusalem et Damas pour évoquer la (...)
Nominations et remous au plus haut de l’armée turque : là aussi, la mutation que connaît la Turquie donne d’évidents signes de vigueur.
C’est une première dans l’histoire de la République turque. Et l’évènement a failli passer inaperçu : le général Yaşar Büyükanıt vient d’être nommé chef d’état-major des forces armées turques. Il succèdera ainsi au général Hilmi Özkök le 31 août prochain. Rien de plus normal en somme. Le général Özkök est parvenu au terme de sa mission et celui qui devait en principe lui succéder, (...)
Source : Fenêtre sur l’Europe
Les ministres des Affaires étrangères grec et turc ont signé, samedi dernier, un accord pour la création d’une ligne téléphonique spéciale entre les armées des deux pays pour prévenir les incidents bilatéraux résultant de leur différend sur la délimitation de leurs espaces aériens.
Rechercher des mesures de confiance pour mettre fin aux tensions entre leurs deux pays en mer Egée, tel était l’un des objectifs de la rencontre entre la ministre grecque des Affaires étrangères, (...)
© La Documentation française
Le rôle de l’armée
L’armée turque, qui compte 650 000 hommes, dont 100 000 soldats de métier, est du point de vue numérique la deuxième armée de l’OTAN. (
) Il est indéniable que l’armée jouit en Turquie d’un capital de confiance très élevé. Pourtant, elle a perpétré deux coups d’État en 1960 et 1980 et elle a, à deux reprises, en 1971 et 1997, amené le Premier ministre démocratiquement élu à démissionner. L’armée turque joue traditionnellement un rôle important dans la vie publique, (...)
© Turquie Européenne pour la traduction
© Hürriyet, le 09/03/2006
En voyage à Vienne lors de la visite du ministre turc des Affaires étrangères Abdullah Gül dans la capitale autrichienne, le journaliste Mehmet Ali BİRAND s’est entretenu avec Madame Ursulla Plassnik. Au menu des discussions : le début des négociations d’adhésion de la Turquie, la question chypriote et l’actualité politico-judiciaire turco-turque dans laquelle le second de l’armée turque fait l’objet d’une demande d’instruction de la part (...)
© Turquie Européenne pour la traduction et les commentaires
© Radikal, DHA - le 06/03/2006
Dernier rebondissement de ce qui tend à devenir l’affaire de Semdinli, sous-préfecture turque à la frontière iranienne dans laquelle une librairie devait faire l’objet d’un attentat en novembre dernier. Un attentat dont deux des auteurs s’avèrent être des gendarmes. C’est l’ombre de ce que l’on appelle ici l’état profond, le système de collusion officieux entre les forces de sécurité, les milieux ultranationalistes (...)
La libération de Mehmet Ali Agca, militant ultranationaliste et assassin du journaliste de gauche Abdi Ipekçi remet en pleine lumière ce que l’on appelle ici « l’état profond », un tissu de relations serrées entre militaires, mafieux, politiques et militants d’extrême droite. Alors que des attentats survenus Semdinli, à la frontière irakienne, ont semble-t-il impliqué des membres des forces de l’ordre en novembre dernier, l’armée se fend d’une déclaration publique destinée à conjurer le spectre des (...)
Libération - lundi 14 novembre 2005
Après l’attentat du 1er novembre, le pouvoir ne cible plus le PKK.
Istanbul de notre correspondant Les autorités d’Ankara semblent désormais décidées à en finir avec ces réseaux de « l’Etat profond », comme les appellent les Turcs, où se mêlent « barbouzes » et mafieux. Le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan a annoncé hier sa volonté de faire la lumière sur les attentats de Semdinli, bourgade limitrophe des frontières irakienne et iranienne, et à punir leurs (...)
Le Monde - 23/03/2005
Résistant à tout règlement, le problème de Chypre s’annonce comme un écueil de taille sur la route de la Turquie vers l’Union européenne et comme un vrai casse-tête pour les 25. Trente ans après la guerre entre les deux communautés, l’île reste divisée entre la République turque de Chypre du Nord (RTCN, 185 000 personnes, reconnue par Ankara seulement) et la République de Chypre (620 000 habitants, la seule reconnue internationalement).
Les négociations entre les deux parties sont (...)
KABOUL, 13 fév (AFP)
La Turquie a pris dimanche le commandement de la Force internationale d’assistance pour la sécurité en Afghanistan (Isaf), un mandat de six mois au cours duquel cette force pourrait avoir à sécuriser les élections parlementaires, tout en étendant sa présence à l’ouest du pays.
Après six mois à la tête de l’Isaf, le général français Jean-Louis Py, commandant de l’Eurocorps, a remis symboliquement lors d’une cérémonie à l’état-major de l’Isaf à Kaboul, le drapeau vert de cette force au (...)
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